Mastectomie préventive : "Malgré les cicatrices, je referais ce choix"

Sacrifier une partie de son corps, sans même être malade, un choix loin d'être anodin.

Il y a quatre ans, Stéphanie apprenait qu'elle est porteuse d'un variant du gêne BRCA1, qui augmente de 80% le risque de développer un cancer du sein chez la femme. Passé le séisme dans sa vie et après plusieurs mois de réflexion, elle décide de prendre de court la maladie.

En février dernier, elle effectue une mastectomie préventive, une ablation des glandes mammaires.

Depuis, elle défend l'importance prévenir l'apparition du cancer, à l'heure où moins d'une femme sur deux âgée de 50 à 74 ans, se fait dépister régulièrement... Témoignage.