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Longuenesse : dix ans de prison pour avoir violé une femme sexagénaire déficiente mentale
Longuenesse : dix ans de prison pour avoir violé une femme sexagénaire déficiente mentale
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Serge Bayard, 58 ans, a été reconnu coupable du viol d'une dame de 65 ans souffrant de déficience intellectuelle. Cette agression sexuelle a eu lieu au domicile de la victime le 25 mai 2018 à Longuenesse.
Le procès a démarré ce vendredi 15 octobre à la Cour d’Assises du Pas-de-Calais, à Saint-Omer. Les proches de Serge Bayard se sont succédés à la barre pour revenir sur la personnalité de ce dernier et sur les faits “dont ils ont honte”.
Les fait se se sont déroulés fin mai 2018. L’accusé aurait abordé la victime dans la rue. Une sexagénaire, souffrant de déficience intellectuelle qui se rendait sur la tombe de son mari décédé un an plus tôt. Serge Bayard aurait raccompagné la victime jusque chez elle avant de pénétrer dan son domicile sans son accord et de la violer.
L'homme est décrit par son entourage comme limité intellectuellement mais inséré professionnellement, et au parcours conjugal chaotique. Il a reconnu les faits devant le tribunal mais n'a pas pu les expliquer.
Le témoignage d'une de ses anciennes compagnes confirme l'attirance de l'accusé pour les personnes âgées. En 2014, il avait déjà été condamné pour une agression sexuelle sur une dame de 79 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Le procès a démarré ce vendredi 15 octobre à la Cour d’Assises du Pas-de-Calais, à Saint-Omer. Les proches de Serge Bayard se sont succédés à la barre pour revenir sur la personnalité de ce dernier et sur les faits “dont ils ont honte”.
Les fait se se sont déroulés fin mai 2018. L’accusé aurait abordé la victime dans la rue. Une sexagénaire, souffrant de déficience intellectuelle qui se rendait sur la tombe de son mari décédé un an plus tôt. Serge Bayard aurait raccompagné la victime jusque chez elle avant de pénétrer dan son domicile sans son accord et de la violer.
L'homme est décrit par son entourage comme limité intellectuellement mais inséré professionnellement, et au parcours conjugal chaotique. Il a reconnu les faits devant le tribunal mais n'a pas pu les expliquer.
Le témoignage d'une de ses anciennes compagnes confirme l'attirance de l'accusé pour les personnes âgées. En 2014, il avait déjà été condamné pour une agression sexuelle sur une dame de 79 ans atteinte de la maladie d’Alzheimer.
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