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La Longueville : un renard retrouvé agonisant dans un piège illégal
Le piège, formé de mâchoires métalliques, est strictement interdit en France depuis près de trois décennies en raison de sa cruauté. Pourtant, ces engins continuent de circuler. Selon une secrétaire de mairie interrogée par La Voix du Nord, ces pièges peuvent encore être trouvés sur des brocantes, ce qui complique leur traçabilité.
La propriétaire du terrain reste perplexe sur l’origine de ce piège illégal. Elle a souligné que sa propriété est entourée de plusieurs hectares où toute activité de chasse est interdite. Si les chasseurs sont une hypothèse plausible, elle n’exclut pas que le piège ait été posé par un particulier. L’absence de pistes concrètes rend l’identification du responsable particulièrement difficile.
La mort de ce renard met en lumière les risques persistants liés à l’utilisation de pièges interdits, ainsi que la difficulté de contrôler leur vente et leur usage. L’incident a suscité l’indignation dans la commune et relance le débat sur la lutte contre les pratiques illégales menaçant la faune sauvage.
La Longueville : un renard retrouvé agonisant dans un piège illégal
Mercredi 8 janvier 2025, une habitante de La Longueville, dans le Nord, a fait une macabre découverte sur son terrain. Un jeune renard, gravement blessé, se trouvait pris dans un piège à mâchoires, un dispositif interdit en France depuis 1995. L’animal n’a pas survécu à ses blessures, suscitant une vive émotion et des interrogations sur l’origine de cet acte.
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Selon le témoignage de la résidente, le renard agonisait lorsqu’elle l’a découvert. Sa patte, broyée par le piège, portait les stigmates d’un supplice insoutenable. « C’était choquant. Il avait carrément commencé à ronger sa propre patte », a-t-elle confié à La Voix du Nord. La douleur et le désespoir de l’animal ont laissé une empreinte indélébile sur cette scène tragique.
Un dispositif illégal et difficile à tracer
Le piège, formé de mâchoires métalliques, est strictement interdit en France depuis près de trois décennies en raison de sa cruauté. Pourtant, ces engins continuent de circuler. Selon une secrétaire de mairie interrogée par La Voix du Nord, ces pièges peuvent encore être trouvés sur des brocantes, ce qui complique leur traçabilité.
L’origine du piège reste floue
La propriétaire du terrain reste perplexe sur l’origine de ce piège illégal. Elle a souligné que sa propriété est entourée de plusieurs hectares où toute activité de chasse est interdite. Si les chasseurs sont une hypothèse plausible, elle n’exclut pas que le piège ait été posé par un particulier. L’absence de pistes concrètes rend l’identification du responsable particulièrement difficile.
Un drame qui pose question
La mort de ce renard met en lumière les risques persistants liés à l’utilisation de pièges interdits, ainsi que la difficulté de contrôler leur vente et leur usage. L’incident a suscité l’indignation dans la commune et relance le débat sur la lutte contre les pratiques illégales menaçant la faune sauvage.
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