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Englos : le dernier Macumba de France va fermer dans un mois
Fondée en 1975, cette discothèque était le dernier vestige d’une chaîne qui comptait jusqu’à 23 établissements en France. Avec ses deux salles et ses 1 500 m² de pistes de danse, le Macumba pouvait accueillir plus de 1 000 personnes par soirée.
Le Macumba avait su se faire une place à part dans le paysage des nuits lilloises. Ni branché ni ringard, mais généraliste, il rassemblait toutes les générations sur ses immenses pistes de danse. Son architecture emblématique et sa localisation en périphérie de la ville en avaient fait un lieu unique.
La nouvelle de sa fermeture a été accueillie avec une grande tristesse par ses fidèles.
Alors qu’il s’apprêtait à fêter son cinquantième anniversaire, le Macumba tire sa révérence.
Le Macumba laissera un vide immense dans le cœur des Nordistes, mais continuera de vivre dans les souvenirs de ceux qui l’ont fréquenté.
Englos : le dernier Macumba de France va fermer dans un mois
Le rideau tombe sur une institution des nuits françaises. Le dernier Macumba de France, situé dans la zone commerciale d’Englos, fermera définitivement ses portes après un ultime week-end de festivités les 22 et 23 février.
Une page se tourne pour cette discothèque emblématique, dernier vestige d’une chaîne qui comptait autrefois 23 établissements à son apogée.
« Nous partons la tête haute », affirme Dimitri Derepas, le directeur de l’établissement.
Fondée en 1975, cette discothèque était le dernier vestige d’une chaîne qui comptait jusqu’à 23 établissements en France. Avec ses deux salles et ses 1 500 m² de pistes de danse, le Macumba pouvait accueillir plus de 1 000 personnes par soirée.
« C’était une véritable bouffée d’oxygène pour les Nordistes », explique Faiçal D., un habitué des lieux, à La Voix du Nord.
Un lieu culte qui disparaît
Le Macumba avait su se faire une place à part dans le paysage des nuits lilloises. Ni branché ni ringard, mais généraliste, il rassemblait toutes les générations sur ses immenses pistes de danse. Son architecture emblématique et sa localisation en périphérie de la ville en avaient fait un lieu unique.
« Ma seconde maison pendant des années, avec de belles rencontres, de la bonne musique et une équipe incroyable », raconte Vanessa.
La nouvelle de sa fermeture a été accueillie avec une grande tristesse par ses fidèles.
« Ce n’était pas ringard, c’était convivial. La fermeture va faire mal, les liens sociaux vont se briser. », regrette Freddy Roussel, habitué des après-midis rétro du jeudi et du dimanche.
Une ultime soirée
Alors qu’il s’apprêtait à fêter son cinquantième anniversaire, le Macumba tire sa révérence.
« Nous partons sans aucun problème d’exploitation. Henri Souque mérite une retraite bien méritée », précise Dimitri Derepas, promettant un dernier week-end de fête à la hauteur de la légende.
Le Macumba laissera un vide immense dans le cœur des Nordistes, mais continuera de vivre dans les souvenirs de ceux qui l’ont fréquenté.