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Auchan annonce vouloir supprimer 2 389 emplois
Ce plan, qui affecterait près de 2 389 postes, marque l’un des PSE (plans de sauvegarde de l’emploi) les plus importants de l’histoire de l’enseigne, un fait souligné par Franck Martinaud, délégué syndical FO, qui a qualifié ce nombre de « colossal » comparé aux précédents plans.
Dans les détails, Auchan, qui compte environ 54 000 salariés en France, projette la suppression de 784 postes au sein de ses sièges et de 915 postes en magasin.
Ce groupe historique de la galaxie Mulliez, aujourd'hui dépassé par des concurrents comme Leclerc et Carrefour, fait face à une perte de parts de marché et à une diminution de son pouvoir de négociation avec les fournisseurs. « Le modèle économique actuel ne répond plus aux attentes des clients », a expliqué Gilles Martin, délégué syndical CFDT d'Auchan Retail, dans une déclaration à Ouest-France avant l'annonce de ce plan social.
Auchan annonce vouloir supprimer 2 389 emplois
Comme redouté par les syndicats, Auchan a confirmé ce 5 novembre 2024 un vaste plan social menaçant 2 389 emplois.
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Le distributeur a présenté ce projet ce mardi 5 novembre aux représentants du personnel lors d'une réunion organisée dans la région, où divers comités sociaux et économiques (CSE) se sont tenus pour faire un point sur la situation de l’entreprise et ses perspectives.
Des difficultés persistantes
Ce plan, qui affecterait près de 2 389 postes, marque l’un des PSE (plans de sauvegarde de l’emploi) les plus importants de l’histoire de l’enseigne, un fait souligné par Franck Martinaud, délégué syndical FO, qui a qualifié ce nombre de « colossal » comparé aux précédents plans.
« Nous traversons une période économique difficile, mais ce chiffre dépasse tout ce qu’on pouvait imaginer », a ajouté Fabien Alliata, délégué CFDT.
Dans les détails, Auchan, qui compte environ 54 000 salariés en France, projette la suppression de 784 postes au sein de ses sièges et de 915 postes en magasin.
Ce groupe historique de la galaxie Mulliez, aujourd'hui dépassé par des concurrents comme Leclerc et Carrefour, fait face à une perte de parts de marché et à une diminution de son pouvoir de négociation avec les fournisseurs. « Le modèle économique actuel ne répond plus aux attentes des clients », a expliqué Gilles Martin, délégué syndical CFDT d'Auchan Retail, dans une déclaration à Ouest-France avant l'annonce de ce plan social.
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