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153 passagers d’un vol Ajaccio-Lille obligés de dormir à l'aéroport
La compagnie aérienne a finalement annoncé un départ au lendemain matin et annonce qu'un hébergement est prévu pour chaque passager et que des bus sont affrétés pour venir les chercher. Les heures passent et aucun bus n’arrive. On conseille alors aux « naufragés » de prendre un taxi, qui sont soit indisponibles, soit trop chers.
Des matelas, des couvertures et un coupon de restauration pour une boisson et un sandwich sont alors fourmis aux passagers.
Les passagers ont finalement pu décoller à 14h35 le lendemain, avec plus de 16 heures de retard.
153 passagers d’un vol Ajaccio-Lille obligés de dormir à l'aéroport
Ce mardi 12 septembre 2023, plus de 150 passagers ont été contraints de passer la nuit à l'aéroport à cause d'un retard de plus de 16h d’un vol Ajaccio-Lille de la compagnie aérienne Volotea.
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L'avion aurait dû décoller ce mardi 12 septembre à 21h. Après avoir été annoncé avec du retard, il a purement et simplement annulé, ce qui a contraient les 153 passagers de ce vol Ajaccio-Lille de la compagnie aérienne Volotea à dormir à même le sol ou sur les sièges de l’aéroport Campo Dell’Oro, à Ajaccio.
« Nous avons dû attendre un certain moment avant d’obtenir des informations. Au début, on nous disait simplement que notre vol allait être retardé. Alors nous avons patienté. », témoigne Colette Gossart, une touriste originaire du Nord à nos confrères de France3 Corse.
La compagnie aérienne a finalement annoncé un départ au lendemain matin et annonce qu'un hébergement est prévu pour chaque passager et que des bus sont affrétés pour venir les chercher. Les heures passent et aucun bus n’arrive. On conseille alors aux « naufragés » de prendre un taxi, qui sont soit indisponibles, soit trop chers.
Des matelas, des couvertures et un coupon de restauration pour une boisson et un sandwich sont alors fourmis aux passagers.
« Il y a des gens qui sont en pleurs, il y a des bébés, des personnes de 80 ans. Un problème, ça peut arriver, on le comprend. Mais on aurait bien aimé savoir ce qui se passe, et ce qui allait se passer », ajoute Colette Gossart.
Les passagers ont finalement pu décoller à 14h35 le lendemain, avec plus de 16 heures de retard.
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